Jonathan Randall [Validé - Vampire]

Modele de fiche pour les vampires[OBLIGATOIRE]

Nom :Randall
Prénom : Jonathan
Age physique :38 ans
Age réel : 100 ans


Histoire :[25 lignes complètes minimum]

Jonathan a eu une vie humaine bien remplie. Une vie très heureuse principalement puisqu’il est toujours parvenu à agir et à faire les choses qu’il désirait réellement faire. Une enfance malgré tout difficile. Mais qui ne l’empêcha pas d’accomplir de grandes choses.

Enfance & Adolescence …

Mon père n’était pas un homme de cœur. Les rêveurs comme moi ne l’intéressait pas. Je suis le premier enfant d’une famille de quatre. J’ai deux sœurs et un frère. J’étais le seul à vouloir poursuivre mes études. Mon idée était bien claire, depuis que j’étais tout jeune je voulais devenir médecin. N’importe quelle famille aurait baignée dans le bonheur lorsqu’un gamin fait ce choix. Mais pas ma famille. Le principal était que nous commencions rapidement à travailler pour gagner notre pain sur la table. Si j’ai pu poursuivre mes études c’est simplement parce que j’étais celui qui avait trouvé l’emploi le plus payant durant mon adolescence. J’étais serveur dans un grand restaurant. Je travaillais énormément et je devais même sécher mes cours parfois. Je me fis rapidement mettre à la porte de l’école. Mais je comptais bien poursuivre mes cours. Je n’eu pas trop de difficulté à trouver un enseignant qui accepta de suivre mon horaire pour m’enseigner dans sa maison Le sien était plutot étrange par contre. Il accepta de m'enseigner mais il devait le faire la nuit. Je me posais bien quelques question, mais cela me convenait parfaitement Je n'avais pratiquement plus à cotoyer ma famille. Je travaillais le jour et j'étudiais la nuit. C'était difficile, mais j'étais très persévérant. À partir de ce moment, il y avait une seule personne qui croyait en moi.. Un homme strict, envers qui jamais je n’aurais songé me confier., il m’accorda une oreille attentive et comprit comme je ne l’aurais jamais cru ma situation. Il travailla énormément pour moi, il me donnait beaucoup de lecture et de travaux que je pouvais faire à la maison pour me perfectionner. Mon adolescence fut rapide. Jamais je n’ai eu l’occasion de m’amuser un peu, de sortir avec des copains. Je travaillais ou j’avais le nez dans mes bouquins. Ce qui ne plaisait pas à mon père. Détesté et jalousé par mon frère et mes sœurs, puisque j’étais le seul qui parvenait à poursuivre mes études. Ma famille ne m’a jamais ressemblé. J’ai toujours espéré être adopté à vrai dire. Mais je ressemble trop physiquement à mon père pour ça.
Un jour, à l’âge de 17 ans, je fis quelque chose que mon père n’apprécia pas. Mes études devenant plus compliqués j’abandonnais mon emploi. Il me jeta à la rue, sans le moindre remord. Ma mère, complètement droguée par ce qu’ils prenaient ensembles (dépensant ainsi toute l’argent que nous gagnions) n’émit pas la moindre objection. Tant pis. Je n’y remis plus jamais les pieds.
Mais à 17 ans. Sans argent. Je paniquais un peu. Je ne savais pas que faire. Je me rendis à la maison de mon enseignant. Celui qui m’était venu en aide à l’époque, en espérant qu’il me revienne de nouveau en aide. Ce fut le meilleur choix que je pris dans ma vie. Cet homme croyait en moi, alors que je perdais confiance en mes capacités. Il me guida dans mes études, je n’ai plus jamais eu besoin de ma famille. Il assura les paiements et me paya de grandes écoles. Je savais que je parviendrais à tout lui rembourser lorsque je deviendrais médecin. J’avais du talent, c’était indéniable. Et lui il y croyait et il voulait m’aider en cette direction. Ce qui me frappait le plus à l'époque c'était de devoir toujours vivre la nuit avec cet homme. Je n'en savais rien. Je me disais qu'il devait avoir une sorte de maladie. Et pourtant j'étudiais pour devenir médecin ... Mais je ne me posais pas davantage de question, c'était comme ça, tout simplement.

L’âge adulte …

Lorsque j’ai commencé à exercer mon métier, ce n’était que pour rembourser mon enseignant. Celui qui m’était venu en aide, qui avait été mon mentor. C’était mon but pour le moment. Je savais que je devrais travailler durant plusieurs années avant de pouvoir faire autre chose. Alors j’étais dans les hôpitaux. Dire que je n’aimais pas ça était faux. J’adorais soigner les gens. Mais j’avais toujours eu ce désir de partir, d’aller dans des pays plus éloignés où la médecine n’avait rien de parfaite. Où je serais mon propre chef, où j’aurais peut-être ma propre équipe. C’était mon rêve. J’avais toujours été un idéaliste, un rêveur, mais mes rêves étaient réalisables. La preuve j’étais bien devenu médecin, moi le fils d’une famille d’attardés, j’avais toujours poursuivit mes buts et je savais qu’un jour je deviendrais qui je désirais réellement. Bourré de talent je devins rapidement un médecin très en demande et j’avais le pouvoir de choisir mes affectations. Je travaillais dans un hôpital de riche. Je prenais également des consultations. Ce n’était pas ce que j’aimais mais c’était très payant. En près de 3 ans je fus capable de payer mon mentor et ensuite je lui annonçais que je partais. J’abandonnais tout et je pris la direction de l’Afrique dans les régions les plus difficiles. Je voulais venir en aide à mon prochain, j‘avais de l’argent de côté, j’avais le pouvoir de former une équipe que je pouvais gérer à ma façon. Durant plus de six ans je travaillais aux côtés de quelques personnes dans l’espoir de changer quelque chose. Des personnes qui avaient les mêmes idées de moi. Je n’avais rien à prouver, rien à ma famille que je n’avais jamais revu et que je ne comptais pas revoir. Je ne côtoyais plus l’homme qui m’était venu en aide, bien que je comptais tout de même le revoir un jour.
Un jour, il apprit que son enseignant et père adoptif en quelque sorte venait de vivre un énorme accident. Gravement blessé il était entré à l’hôpital depuis quelques jours. Je retournais rapidement à New-York. Il y avait quelques années que je songeais à retourner chez moi. J’étais toujours en forme mais j’avais déjà fait beaucoup dans plusieurs pays. Le mien me manquais … J’avais peut-être dans l’idée de vivre autrement. Âgé de 36 ans, j’avais envi de fonder une famille avec une femme médecin que j’avais rencontré lors de mes voyages et qui avait rejoint mon équipe depuis un moment. D’accord avec l’idée de revenir avec moi, c’était le bon moment.

Gravement blessé, mon père adoptif reposait à l’hôpital. Il avait pratiquement été vidé de son sang. Il avait des marques sur son corps que je ne connaissais pas et que personne ne connaissait. Ce qui lui était arrivé? À l’époque je n’en avais pas la moindre idée. Et je ne l’ai su que bien plus tard. D’ailleurs j’ai pris connaissance de tous les secrets de cet homme plusieurs années plus tard. Mais c’était le genre de chose qui me rendait fou. J’étais revenu dans l’espoir de pouvoir le soigner. Et rien … Je ne connaissais rien qui pouvait lui venir en aide. Alice, ma compagne tomba enceinte d’une petite fille. Mais l’homme qu’elle avait connu n’était plus le même. J’étais renfermé sur moi-même. Parfois même agressif. Je voulais découvrir ce qui tuait à petit feu mon mentor, les infirmières avaient dû l’isoler. Le pauvre homme ne supportait plus les rayons du soleil. Ce qu’il avait nous échappaient à tous, cela n’avait jamais été vu par personne ici. C’était une véritable horreur …

Vers le vampirisme …

J’étais souvent à l’hôpital. Ma fille, Jenny grandissait rapidement et je n’étais pas là. Alice ne voulait pas me quitter mais je sentais qu’elle devrait prendre cette décision rapidement. Malgré le sang que recevait mon père cela ne semblait pas lui venir en aide. Après deux longues années d’une sorte de coma indescriptible il ouvrit les yeux. J’étais près de lui. Il semblait tellement faible, terriblement perdu.
« Jonathan … Approche toi … »
Surprit d’entendre sa voix j’approchais rapidement de lui, excité par son réveil après autant de temps. Il semblait hésitant. Et il me demanda quelque chose … Il me posa une question qui allait changer ma vie à tout jamais. Bien que je ne le savais pas encore à ce moment là.
« Sauve moi Jonathan … Laisse moi faire … Je te promet de ne pas t’abandonner par la suite … »
Je ne comprenais pas très bien. Mais je savais que jamais je ne le laisserais comme ça. Penché vers lui j’hochais lentement la tête, je le laisserais faire ce qu’il voulait, qu’il me dise ce qu’il voulait que je fasse et je le ferais bien sûr, sans la moindre hésitation.

Histoireaprès la transformation[Facultatif si votre vampire est né vampire

Mais j’aurais longuement réfléchi pour ça … Il ne me laissa pas l’occasion d’y songer à deux fois. Il ne me dit rien, il s’approcha de mon cou. Moi j’avais en lui une confiance absolue. Mais j’étais loin de me rendre compte qu’il n’était plus le même. Qu’il n’était plus l’homme que j’avais connu. Il fit quelque chose que je n’aurais jamais imaginé. Il me mordit sauvagement. Tellement surprit je n’hurlais même pas. Je le laissais me vider sans agir le moindrement. Après quelques minutes de cette souffrance et cette impression inimaginable, j’étais faible et tellement près de la mort. Lui il était totalement revigoré. Ce qu’il était devenu en près de vingt ans, je le découvrais aujourd’hui …Il ne me laisserait pas ainsi je le savais. Mais je préférais encore mourir que devenir ce qu’il m’expliquait. Jouant d’énormément de douceur avec moi, il voulait me faire subir une transformation. Il m’expliquait que j’aurais des pouvoirs que je n’imaginais même pas. Que je serais en mesure de sauver le monde à tout jamais si c’était mon désir. Mais moi je ne l’ai jamais vu ainsi.
Il me fit tout de même don de son sang … Me disant que c’était le plus beau cadeau qu’il pouvait me faire. Que je le méritais puisque je l’avais sauvé. Mais moi je n’en avais jamais voulu.

« Vers le royaume … »

Ce que je suis devenu par la suite m’a toujours dégouté. Je ne suis pas un vampire et mentalement je ne l’ai jamais été. Mon père adoptif me reprit sous son aile. J’étais redevenu en quelque sorte un enfant vers une nouvelle vie. Mais un destin qui ne me plaisait pas. Il me montrait, malgré moi tout ce que je devais savoir. J’allais dans ma maison durant la nuit. Je voulais les voir. Mais le jour c’était tout simplement impossible. Je voulais mourir, mais ça aussi c’était impossible, du moins dans mes connaissances, puisque j’étais immortel. J’étais bel et bien coincé, sans espoir. Je ne pouvais plus toucher à ce que j’avais de plus beau. Je ne pouvais plus exercer et surtout je devais maintenant boire du sang. Je devais blesser des gens, alors que j’avais passé ma vie à soigner, maintenant je devais être celui qui blessait, pour ma survie. Bien sûr, au début je ne voulais pas. Mais dans le désespoir, au bord de la mort … Ce n’est pas simple de se laisser mourir. Alors je le fis. Je mordis quelqu’un pour me nourrir … Parce que je n’avais pas le choix. Mon père désespérait de me voir ainsi. Il fit quelque chose, dans l’espoir de me redonner espoir probablement. Mais qui échoua lamentablement. Il mordit ma fille, voulant la transformer. Mais une enfant, une gamine alors âgée de huit ans seulement,. Il rata … Et il la tua. Ce coup me changea énormément, je culpabilisais bien sûr. Je lui en voulais énormément. Durant la même soirée il transforma ma femme. Mais jamais je ne pu la regarder en face. Je lui fit jurer de ne jamais l’apporter à moi. Jamais. Il respecta au moins ce choix. Voyant que je dépérissais, il décida de m’apporter dans un autre endroit. Comment il l’avait connu, je ne voulais pas savoir. Mais ce que je voulais c’était fuir. Ne jamais revoir ma femme et ne plus toucher à qui que ce soit dans ce monde …

Je suis à Desteria depuis seulement quelques années. Le temps est rapide et lent … Je ne suis plus que l’ombre de moi-même. Je ne désire rien, et je n’attends rien de personne. Je n’aime pas les autres vampires mais je ne me sens pas inférieur. Je ne suis pas le genre d’homme à me laisser marcher sur les pieds et au contraire depuis ma transformation je suis devenu bagarreur. La moindre petite remarque me fais monter du mes grands chevaux. Tant que je ne trouverais pas ma voie je resterais un vampire avec un petit côté dangereux …

Portrait moral (caractère ...) : [ 10 lignes complètes minimum ]

Jonathan n’a jamais voulu de cet état de vampire. C’est probablement la pire chose qui lui soit arrivé. Grand rêveur, Joe est un scientifique, le médecin à toujours rêvé de révolutionner la médecine, de trouver remède à tout. Bien sûr, étant loin d’être aussi simple, il a toujours travaillé dur pour sauver les gens. Principalement les pauvres. Doux, pacifique, il est tout de même un meneur qui n’a jamais aimé travailler sous les ordres de d’autres personnes. C’est un homme parfois très lunatique. Il peut se perdre dans ses pensées très longtemps. Mais son cerveau fonctionne toujours très fort. Il a une solution à tout, il n’aime pas perdre le contrôle. Dans sa jeunesse il n’a jamais eu l’occasion de prendre du bon temps, de s’amuser un peu. Adulte il se reprend en tissant des liens, en étant quelqu’un de très agréable et de très social. Bien qu’il préfère se retrouver seul il juge qu’il est important d’être ouvert à de nouvelles connaissances. Altruiste et généreux il songe rarement à lui, il a toujours la tête en direction de quelque chose en rapport avec la médecine.
Il n’aime pas être contrarié. Il est mauvais perdant et doit toujours trouver une solution à tout. Sinon … Il se montre agressif, chieur et agaçant. C’est un actif, qui doit toujours faire quelque chose sinon il n’est plus exactement lui-même.

Depuis qu’il est vampire, il est amer. Il n’a plus l’espoir de pouvoir sauver des vies. Il n’a plus la moindre envie d’exercer. Il est ironique et impulsif, renfermé sur lui-même il n’aime personne et ne souhaite pas être aimé. Il a besoin d’aide, pour reprendre gout à la vie. Mais avec sa femme et son enfant qui sont morts, pour lui, il a bien de la difficulté à recouvrer la joie d’exercer la seule chose qu’il aime réellement faire. Il a mit de côté tout de qu’il aime et vit comme une âme errante, … Détruit d’avoir perdu sa fille et en quelque sorte sa femme …

Particularités : [facultatif ]
Description physique : [ 7 lignes complètes minimum]

Un beau physique, un bel homme qui fait son âge mais qui a également beaucoup de charisme. Souriant et charmeur. Grand et en forme, il n’a jamais travaillé son physique mais en ayant toujours voyagé dans des endroits plus difficile il ne pouvait pas se laisser aller. Sa vie ayant toujours été bourrée d’action il n’a jamais eu d’excès dans l’alcool ou la nourriture. Aucune drogue, aucune cigarette, Jonathan est l’image parfaite d’un esprit sain dans un corps sain. Pratiquement toujours vêtu d’une veste de médecin, il porte de beaux vêtements. Chemise et pantalon, parfois en complet, lorsqu’il est chez lui il opte plutôt pour un bon jean et un chandail ordinaire. Même chose lorsqu’il était dans les pays pauvres il ne se baladait pas en complet. Ses yeux bleus on quelque chose d’intense, de surprenant surtout. Il doit souvent fixer les gens dans les yeux pour sentir quelque chose en eux. Alors il le fait bien souvent. Il n’est pas parfait, n’est plus tout à fait jeune mais le charisme qu’il dégage le rend certainement bien plus jeune. Lorsqu’il sourit, et il le faisait souvent avant d’être devenu un vampire, il est capable de séduire n’importe quelle femme.

Vos pouvoirs:[Deux maximum]

Il peut sentir les maladies qui ne sont pas apparentes. Du genre un cancer. C’est son pouvoir favori, qu’il tente de développer au maximum. Il aimerait être capable de tout détecter et tout connaître. Avoir le pouvoir de reconnaître n’importe quelle maladie. Pour le moment il sent les choses inutiles, comme une vilaine grippe, ce qui ne l’amuse pas énormément. Mais il développe ce pouvoir, il y travaille très fort.

Il ne connaît pas encore son deuxième pouvoir et à vrai dire il s’en fiche. Il ne cherche pas à être le plus fort. Il espère simplement que ça ai un rapport avec la médecine.
Mais il se trompe. Il est en possession d’un pouvoir qui va totalement à l’encontre de ses mœurs. Un homme comme lui qui ne vit que pour la médecine, sera capable lorsqu’il en aura connaissance de faire souffrir à la simple pensée d’une partie du corps. Un pouvoir qui pourrait devenir réellement cruel entre de mauvaises mains. Ou des mains inexpérimentées …

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